Pendant deux fois deux heures, je me suis retrouvé dans le chant des cigales entouré de Tête Rouge, du Taoumé, et de Garlaban. Un véritable retour dans la garigue provençale qui sent le thym et le romarin...

Et puis j'aime ce ton si vivant, si réel, celui qui nous fait tantôt rire, tantôt sortir une larme. La fin du Château de ma Mère est tellement triste ! J'ai retenu cette phrase que je trouve tellement belle et qui résume tellement de choses :
"Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins.
Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants."
Alors pour ceux qui n'ont jamais lu les souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol, faites le, vous retrouverez un peu de votre enfance et vous oublierez, le temps d'un voyage au coeur des colline, tous vos soucis...
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